ALHAJI ALIKO DANGOTE
SA BIOGRAPHIE (EXTRAIT DU LIVRE DE Achille Wealth PhD)
SA NAISSANCE
Le 10 avril 1957, un petit garçon rebondissant pesant à peine un peu
plus de trois kilogrammes est né à Kano. La mère Mariya était si rayonnante de
joie. Le petit garçon de cette journée est la raison pour laquelle vous lisez ce
livre. Une semaine après, il a été nommé, pendant que son grand-père Sanusi
Dantata transportait de joie, il lui attribua le nom d’ALHAJI ALIKO
DANGOTE. « ALIKO » signifiant « Le Victorieux Qui Défend l’Humanité.»
Dangote n’a pas grandi avec sa mère et ne savait pas beaucoup de son père (il
l’a rencontré à de très rares occasions), qui mourut en 1965 alors qu’il était âgé
de seulement huit ans, et il a été élevé par son grand-père maternel, qui était
très attaché à lui et fit en sorte qu’il ne manquait de rien en grandissant dans
leur vaste quartier à Kano. Dangote dira plus tard : « Tout ce que je suis
aujourd’hui, et que je suis devenu, je le lui dois. »
SA SCOLARITÉ
Pour quelqu’un qui a grandi dans Kano, la cité de la connaissance, ce
n’est pas une surprise que Dangote ait pu s’instruire. Comme beaucoup de ses
pairs qui grandissent sous la grande influence des savants islamiques de la
vieille ville, il se construisit à l’une des plus vieilles universités sur terre,
l’Université Al Azhar du Caire, en Egypte.
-1964: Il entre à l’École Élémentaire la Capitale de Kano (on raconte que
pendant la pause dans l’école primaire, de haut front avec d’autres camarades
de classe qui voulaient des sucreries, Aliko en fit sortir des bonbons de son sac
et dit à ses meilleurs amis qu’ils pourraient avoir des sucreries en contrepartie
d’une dîme. Il était si intelligent. Aliko Dangote dira lui-même plus tard en ces
termes : «Je me souviens quand j’étais à l’école primaire, j’allais acheter des cartons de bonbons et je commençais à les vendre juste pour me faire de l’argent. J’étais tellement intéressé par les affaires. Même à ce moment-là, j’avais l’habitude d’acheter et revendre. Je garde encore ce souvenir en esprit. Je le faisais sur une base de temps partiel. J’avais l’habitude d’acheter des paquets de bonbons et donner aux gens de vendre pour moi. Je les rejoignais chaque fois avant la fermeture de l’école. Je recouvrais mon profit et leur donnais quelque chose à titre de récompense. Et nous avons continué ainsi. »
– 1964: Cheikh Ali Kumasi Madrasa (École arabe): Il assista
simultanément à l’école coranique quand il revint de l’école primaire, un
modèle qui est commun avec beaucoup de Musulmans nigérians.
– 1972: Obtention du G.C.E.A – levels au lycée la capitale de Kano.
– 1973: Entrée à l’École d’Économie et des Affaires (l’université Al
Azhar au Caire en Égypte) où il obtint un diplôme en administration des
affaires. En plus de toutes ces formes d’éducation officielle, il a aussi obtenu
une grande quantité d’éducation non formelle de son grand-père ; il fait bon
usage de celle-ci jusqu’à ce jour.
Écoutez-le: « Toute ma finesse et instincts dans les affaires, je les ai hérités de mon grand-père maternel. Comme son premier petit-fils, il a versé en moi toute sa magie d’homme d’affaires prospère. Je n’aurais pas été où je suis aujourd’hui sans lui; un très grand homme, aimable et soucieux. »
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